Les réfugiés des camps, expulsés ou partant volontairement, se retrouvent souvent dans ces espaces désertiques, à 20 km de Port au Prince, destinés au départ à devenir des villes. Ils espèrent pouvoir y construire un logement, recommencer leur vie. Qu’y trouvent-ils réellement ? Que s’y passe-t-il après le départ des grandes ONG ?