Chaleur, moustiques, nuits courtes (il faut se lever très tôt) le plus souvent sur des matelas pneumatiques qui crèvent à tour de rôle...,douches improvisées, travail pénible souvent en plein soleil, et très physique... garçons et filles ont fourni un travail admirable, dans une ambiance de bonne humeur, du sérieux, et une ardeur à la tâche magnifique.
Dans ce genre de chantier, il faut apprendre très vite des gestes que l’on n’a pas l’habitude d’effectuer, et être très vite efficace.
Une vraie bonne entente entre tous, et des moments de convivialité et de détente après des journées harassantes. (3ième partie).
Les "fouilles, les trous pour les fondations des 20 colonnes porteuses, ont été très difficiles sous la chaleur...et au début du chantier. Elles se font à la pioche.
Béton ! Gros tas de sable et de gravier, dizaines de sacs de ciment... et milliers de coups de pelle pour faire le béton. Pour la dalle, l’apport d’une machine à béton a été nécessaire.
Découper et plier les fers pour l’armature des poteaux et des dalles.
Coffrages pour les poteaux et poutres. 20 colonnes ont été montées pour soutenir la dalle.
Monter les seaux de béton jusqu’au premier étage...solidarité et coordination exigées !
L’aide et les conseils des maçons haïtiens ont été précieuse et ont donné lieu à des rencontres riches et intéressantes.